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NieA Senseï - Page 25

  • May (Sorry I'm late) songs

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    Oui, bon, on est en juin....

    Alors, le thème que j'avais choisi pour mai, c'était les covers, les reprises... un peu difficile, aprce que certaines chansons se perdent dans la nuit des temps... enfin bref, voici la playlist où non, je n'ai pas bugger, mais y'a plein de fois la même chanson ^^ (originale ou plus connue en premier)

  • Day 01 : Your favorite song

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    J'avais dit que je le ferais, ne serait-ce que pour tenir compagnie à l'Ange Toxique... eh bien voilà! Je fais le challenge "30 days songs".

    Popur celui de l'Ange, c'est par ici le début ^^ Je ne sais pas si je tiendrais sur la régularité... ni si je serais aussi bavarde... mais on va institué ça comme un rendez-vous du mardi (oui, parce que un par jour, ça va pas être possible...). Par contre je vous préviens, question écclectisme, vous allez être servi ^^

    Alors, ma chanson préféré... le choix a été rude. Très rude, même... à une époque, j'aurais pu mettre One de U2, ou Sunday Bloody Sunday. Dans un élan francophone, j'ai une tendresse particulière pour Puisque tu pars de Jean-Jacques Goldman. Mais en réflechissant bien, je me suis rendu compte que ma chanson préféré était une chanson traditionnelle aux multiples versions (ce qui explique que je peux être très sévère sur certaine).

    My favourite song sera donc... The House of the Rising Sun, chanson, ballade folk populaire américaine, aux multiples interprètes (dont les Beatles bourrés et Muse, deux versions que je vous épargnerais ^^) rendu célèbre par un groupe anglais... The Animals

    Mais ma version préféré, depuis peu, c'est celle de Marianne Faithfull... 

  • "Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent..."

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    (Je vais inaugurer une nouvelle catégorie sur mon blog... quand l'envie m'en prendra, je vous mettrai ici un poème que j'aime. On va commencer par mon auteur préféré, le grand Totor... euh Victor Hugo, et un poème issu des Châtiments... un recueil que je chéri particulièrement, que mon frère m'a offert en 2007... et Ô combien d'actualité...) (oui, vous allez souvent avoir du Hugo... et les Châtiments... mais promis, pas que ça ^^)

    Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent

    Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont
    Ceux dont un dessein ferme emplit l'âme et le front.
    Ceux qui d'un haut destin gravissent l'âpre cime.
    Ceux qui marchent pensifs, épris d'un but sublime.
    Ayant devant les yeux sans cesse, nuit et jour,
    Ou quelque saint labeur ou quelque grand amour.
    C'est le prophète saint prosterné devant l'arche,
    C'est le travailleur, pâtre, ouvrier, patriarche.
    Ceux dont le coeur est bon, ceux dont les jours sont pleins.
    Ceux-là vivent, Seigneur ! les autres, je les plains.
    Car de son vague ennui le néant les enivre,
    Car le plus lourd fardeau, c'est d'exister sans vivre.
    Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
    Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
    Ils s'appellent vulgus, plebs, la tourbe, la foule.
    Ils sont ce qui murmure, applaudit, siffle, coule,
    Bat des mains, foule aux pieds, bâille, dit oui, dit non,
    N'a jamais de figure et n'a jamais de nom ;
    Troupeau qui va, revient, juge, absout, délibère,
    Détruit, prêt à Marat comme prêt à Tibère,
    Foule triste, joyeuse, habits dorés, bras nus,
    Pêle-mêle, et poussée aux gouffres inconnus.
    Ils sont les passants froids sans but, sans noeud, sans âge ;
    Le bas du genre humain qui s'écroule en nuage ;
    Ceux qu'on ne connaît pas, ceux qu'on ne compte pas,
    Ceux qui perdent les mots, les volontés, les pas.
    L'ombre obscure autour d'eux se prolonge et recule ;
    Ils n'ont du plein midi qu'un lointain crépuscule,
    Car, jetant au hasard les cris, les voix, le bruit,
    Ils errent près du bord sinistre de la nuit.

    Quoi ! ne point aimer ! suivre une morne carrière
    Sans un songe en avant, sans un deuil en arrière,
    Quoi ! marcher devant soi sans savoir où l'on va,
    Rire de Jupiter sans croire à Jéhova,
    Regarder sans respect l'astre, la fleur, la femme,
    Toujours vouloir le corps, ne jamais chercher l'âme,
    Pour de vains résultats faire de vains efforts,
    N'attendre rien d'en haut ! ciel ! oublier les morts !
    Oh non, je ne suis point de ceux-là ! grands, prospères,
    Fiers, puissants, ou cachés dans d'immondes repaires,
    Je les fuis, et je crains leurs sentiers détestés ;
    Et j'aimerais mieux être, ô fourmis des cités,
    Tourbe, foule, hommes faux, coeurs morts, races déchues,
    Un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !

    Victor Hugo, Les Châtiments 

  • #VendrediLecture

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    Vous vous souvenez, il y a quelque temps, j'ai fait ma rebelle, et mis en place un #Dimanchelecture.

    Bon, finalement, j'arrête la rebellitude... de toute façon, je rebellise de façon bien plus importante mardi... je fais grève, na!

    Et littérairement, bloguesquement et internetement, je rentre (en partie) dans le rang en publiant aussi mes livres en cours le vendredi (même tard) pour le...

    vendredi lecture.jpg

     (toutes les explications sur le blog #vendredilecture)

     Et donc, que lis-je?

    Dans les fait, rien de nouveau, je relis beaucoup... 

    - L'età del  dubbio, Andrea Camilleri. Une aventure du comissaire Montalbano, lu en VO... c'est à dire en italien/sicilien/catarellien ^^

    - Memory, de Loïs McMaster Bujold, toujours dans ma phase "ré-explorons la saga Vorkosigan"

    - Le Trône de fer/ le Donjon Rouge, George RR Martin, toujours dans ma phase.... HBO a eu ma peau.... (et qui sait, miracle des miracles, j'aurais le tome 2 bientôt ^^)