Souvenirs...

Mon dernier voyage hors des murs familiers de la maison paternelle remonte à une semaine ... un court week-end dans une demeure non moins familière. Un voyage étrange dans un lieu fortement attaché à mes souvenirs d'enfance.

Trois jours dans la maison de mon grand-père, pour accueillir une amie, et remplir cette grande maison pendant son absence. Trois jours d'indépendance mélangée aux règles intemporelles qui pèsent sur cette maison.

Etrange sensation. Autant la maison de ma grand-mère en Italie me semble un lieu de vacances, autant celle de mes grand-parents en France, me semble... un lieu d'enfance. Parfois, quand le soleil joue sur les vitres de la cuisine, je revois les devoirs sur la table, les leçons à réciter. Je revois cers mercredis ensuite, le rituel déjeuner.

Ce fut un voyage... dans le temps, dans une drôle de dimension, entre la réalité vécu, et le passé.

Je revois les fêtes de familles dans le salon. Je revois même l'ambiance d'il ya un an, à l'enterrement. heureux ou malheureux, les évènements, chez moi, pousse au regroupements de tous, et c'est cette joie familiale qui affleure, même au milieu du deuil. Les rires qui ont pontués les remémorations, les anecdoctes ... un vrai film italine, entre le rire et les larmes. Je comprnds pourquoi le néo-réalisme est transalpin...

Et c'est une fête, une réunion entre amis qui a justifié mon occupation des lieux. Et reprenant le rôle de ma grand-mère, enbonne hôtesse, j'ai assurée en cuisine, offrant mon amitié dans ma cuisine, comme elle nous offrait son amour.

Il y a décidement des choses qui ne changent pas.

La Porte d'Orient

Quittons le Japon, pour nous rapprocher bien plus... mais restons tournés vers l'Est, vers un lieu qui fut le départ de tant de voyages...

Il existe un lieu propice à la rêverie, propice aux mystères.

Il existe une ville-dédale, qui nous offrit les trésors de l'Orient.

Cette ville c'est Venise. Venezia en italien. La Sérénissime, pour l'histoire.

Et étonnamment, malgré la chaleur de l'été et le flot de touristes, il est facile d'être serein dans cette ville. Il est facile de s'arrêter, se poser, regarder le temps passer. Il est facile d'imaginer, de rêver.

Pourtant, Venise, de son histoire, a toujours été une cité pragamtique. Ilôt relatif de paix dans l'Italie de Moyen-âge et de la Renaissance, ses institutions l'ont longtemps protégée. Elles en ont fait une puissance maritime sans pareille.  Et un musée à ciel ouvert... 

"L'homme qui marche" (1)

le Japon est un pays fait pour la marche. Oui, malgré de larges avenues qui traversent les villes, malgré un système de transports en commun développés, la marche (ou le vélo) est encore le meilleur moyen de découvrir la ville, les villes, le pays.

Entendons nous bien, par marche, je ne parle pas de randonnée *encore que ce soit une option intéréssante, mais j'aurais appelé ce sujet l'été de Kikujiro (2) *

Non, je parle de cette flânerie à travers les rues, les parcs... qui fait découvrir les aspects, de la ville au jardin, de la rue commerçante, allée couverte, ruelle animée au chemin de la philosophie (passage délicieux le long d'un charmant canal, reliant deux temples de Kyoto). Mon premier contact avec ledit chemin s'étant fait sous une mémorable averse. 

Et, revenant sur mes pas, je vais, continuant de marché avec vous, vous faire, au fil de septembre, découvrir en détail les lieux visités....

 

(1) manga de Jiro Tanigushi, que je vous conseille fortement

(2) film de Takeshi Kitano, même chose que précedemment. 

Comment ne pas mourir de soif pour 120 yens

Au Japon, vous avez deux moyens de ne pas mourir de soif. 

L'un est gratuit. Il suffit de trouver un temple, boudhiste ou shinto, aucune importance * sauf que quand c'est shinto, c'est un sanctuaire, mais là, on s'en fout, vu que c'est pas le sujet*. Shinto, ceci dit, c'est mlieux, vu qu'en génral, la visite est gratuite, donc comme ça, à peu de frais, vous vous désaltéré et vous ouvrez votre esprits aux merveilles du monde * ça peut pas faire de mal*.  

Donc, en général, dans les temple, y'a une fontaine qui traine à l'entrée pour se purifier. Sous deux modèles. La simple, et la version groupe.

 

 

 

 

 

 

Sinon, si l'eau ne vous dit rien (ou que vous avez pas envie de vous purifiez... ou que c'est le quinzième temple de la journée, et que vous voulez changer de régime...) vous avez les distributeurs de boissons. Alors là, si vous aimez les gros frigo lumineux, vous êtes servi! C'est simple, y'en à partout, à chaque coin de rue. Si vous avez 100 yen, vous continuerez à l'eau (eh vi...) mais pour 120, vous pourrez expérimenté, outre les classique cola, les goûts les plus space du Japon, comme le Fanta Grape (Fanta au raisin... ceci les Japonais raffolent du raisins, vu qu'oin en trouve souvent dans les boissons), le Melon Cream soda (un truc au goût de melon un poil chimique et pétillant, comme si vous mixiez un sorbet melon avec du fanta citron....) voir de la bière. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bref, non seulement, au Japon, on meurt pas de soif, mais en plus on a le choix... purification ou expérimentation