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  • En relisant Harry Potter

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    On tombe sur de petites erreurs...

    J'en suis déjà au tome 3 (Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban) et commej'ai pas envie d'attendre toujours de publier le post, je me permet de relever des petites incohérences ici même.

    - Dans le premier tome, on a nos héros qui cherchent qui est Nicolas Flamel. Je suis d'accord que le monde des sorcier ne connait ni internet,ni Google, ni Wikipedia (ce qui prouve que nous, les moldus, on n'est pas que des bêtassons stupides et/ou effrayés), mais dans mon monde, il me suffit de prendre un dictionnaire pour savoir que Flamel était un alchimiste. Or, chez les sorciers, il n'est cité dans aucun livre de base, aucune encyclopédie genre Universalis ne semble exister et il faut miraculeusement que Harry retombe sur une carte Chocogrenouille pour avoir le nom...

    - En reparlant des moldus/sorciers (finalement, à la relecture, c'est peut-être ce que je lui pardonnerais le moins) sur les trois premiers tomes (mais les autres, ça va pas changer) les moldu sont: bêtes et méchants (et avec une tendance à l'ambonpoint. Ou alors, c'est les ravis de la crèche, comme les parents d'Hermione, qu'on croisent dans le 3. Le monde des sorciers c'est merveilleux, ils sont si fières que leur filles soit une sorcière (alors qu'à la base, ils savaient même pas que ça existait... )puis j'imagine les conversation au cabinet dentaire "Et donc votre fille..." "Oh, ben elle étudie la sorcellerie...". D'un autre côté, on balance des sortilèges d'amnésie au moindre moldu qui voit un bout de cape... faudrait savoirkappa.jpg

    - Dans le tome 3, on croise des Kappa. Oui, dans le cours de défense contre les Forces du Mal. Le Kappa est un petit démon des eaux japonais, qui à la manie d'attirer les gens, en particulier les jeunes filles et les enfants, et de les tuer. Bon, là, pas de problème, la description correspond ... jusqu'à ce que Rogue s'en mèle et nous sorte que le Kappa se trouve en Mongolie (bon, là, j'accuse pas Rowling, mais la mauvaise fois de Rogue...). Ceci dit, si vous voulez savoir comment s'en débarasser, pas besoin de baguette magique, n'importe quel Japonais sait le faire. Les kappas possède un crâne qui fait comme une petite coupelle, où se trouve de l'eau. Il suffit de le saluer (à la japonaise) car comme ils sont très polis (c'est des démons japonais, hein...) ils vous rendront votre salut, faisant tomber l'eau et perdant par la-même tout pouvoir.

     

    Rien à voir, mais si parmis vous, certains désirent loguer mon blog avec une image, j'ai fait une mini-ban exprès, que voici:

     

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    http://emo.huhiho.com

  • The Black Dahlia - Ellroy - De Palma

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    J'adore Ellroy. Je suis tombée dedans grâce au film L.A Confidential, j'ai lu Le Grand Nulle Part, puis L.A Confidential, puis le Dahlia Noir,White Jazz, puis finalement, qui clôturait le Quatuor de Los Angeles. j'ai commencé American Death Trip, j'ai lu Clandestino en italien et en français, j'ai lu Crimes en série, et j'ai adoré ses deux articles sur L.A., sa ville, sa malédiction, dans Courrier International il y a un temps déjà.

    J'aime déjà, à la base, le roman noir américain, le film noir, les ambiances poisseuses, les héros pas si héros malchanceux... et Ellroy va très loin dans l'anti-héros.

    Bref, il va me falloir plus d'un post pour en parler sérieusement. Or, hier soir, sur France 2, passait le Dahlia Noir, l'adaptation du roman éponyme d'Ellroy, par Brian De Palma. Et en général, j'aime bien Brian.

     

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    Le Dahlia Noir - James Ellroy.

    Premier tome du quatuor de Los Angeles, une tétralogie autour du LAPD de la fin des années 40 à la fin des années 50, c'est le troisième que j'ai lu. Oui, je suis pas toujours logique... ce qui m'énerve, c'est que je ne retrouve plus mon exemplaire, et que je ne l'ai pas relu depuis plus d'un an, et que voilà, mes souvenirs sont flous!

    Bien que les oeuvres d'Ellroy soient de fictions, elles ont intervenir en fond tout un tas de personnages ayant existé. Dans le cadre du Dahlia Noir, c'est carrément l'histoire qui est réelle. Celle qui sert le titre, puisqu'Ellroy part réellement du meurtre d'une aspirante starlette, retrouvée horriblement mutilée dans un terrain vague à la fin des années 40. C'est aussi un livre exorcisme pour Ellroy, il le dit lui-même, sa propre mère ayant été retrouvée assassinée dans un terrain vague.

     

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    Dans le livre, on suit l'enquête Dwight Bucky Bleichert et son coéquipier, Lee Blanchart, obsédé par le meurtre. C'est aussi une plongée au coeur de l'âme humaine dans sa part sombre, au coeur d'une ville et d'une Amérique tout, sauf accueillante et fraternelle, au coeur des pulsions humaines. On y croise des femmes fatales à la fois fragiles et ambigües, des flics corrompues jusqu'à la moëlle, et pourtant honnêtes, en un sens, des manipulateurs de tout poil, dans le vaste barnum qu'est la justice et la politique, intimement liées, aux Etats-Unis.

    Et encore, le Dahlia Noir reste classique dans sa narration. il fait penser aux oeuvres de Dashiell Hammet, Raymond Chandler ou Chester Himes. Ellroy n'a pas encore peaufiné son style "uppercut", mais tout est déjà là. Et c'est un chef-d'oeuvre de littérature noire. Avec parfois une lumière...

    Bref, vous comprendrez que j'ai aimé. Et puis dès que ça se passe dans les années 40-50, moi, je craque, alors...

    Passons au film...

     

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    Le Dahlia Noir - Brian De Palma

    L'histoire: la même que précédement, avec des adaptations. Le décor: L.A. en 1947-1948. les acteurs: Aaron Eckhart, Scarlett Johansson, Hilary Swank, Josh Hartnett.

    D'habitude, j'aime bien De Palma. Contrairement à Pando (moi, j'ai du mal avec Ang Lee). Eh bien là, je lui donnerais raison.

    De Palma réussit un bon film noir, bien léché, avec l'ambiance et tout, une reconstitution d'époque qui claque, le soleil, les tensions, les acteurs sont parfaits.

    Mais.

     

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    Il y a un "mais". Ce "mais", c'est Curtis Hanson, qui avait réalisé L.A Confidential, raflant les oscars 10 ans avant, et réalisant ce que De Palma n'a pas fait.

    Capter l'âme de Los Angeles. L'âme noire et torturée décrite dans le roman. Son film est bien, mais il est gentil. Et Ellroy n'est pas gentil. Sa relation avec sa ville est une relation d'amour-haine, et après lui, vous ne voyez plus Hollywood et L.A. comme avant (ni les States en général, d'ailleurs). Alors oui, y'a des beautés fatales et des relations vénéneuses, mais on pense presque plus à un remake du Grand Sommeil, avec Humphrey Boggart. Et pas le truc qui vous prends aux tripes comme sait le faire Ellroy.

    Et vous? Vu, pas vu, Ellroy, pas Ellroy?

    http://emo.huhiho.com

  • Sorciers, sorcières et compagnie...(1)

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    Harry Potter... voici un nom et des aventures qui ont tenus en haleine des milliers de lecteurs, petits en grands à travers le monde, pendant presque 10 ans...

    Les aventures du petit sorcier à lunette, devenu grand, ont fait rêvé (et considérablement enrichis sa créatrice, ainsi que la Warner, mais là n'est pas le sujet...)

    Je suis tombée fan d'Harry environ vers 2002, je crois bien... peu avant la sortie du tome 4, il me semble. Sur les conceils d'une collègue, et une fois n'est pas coutume, devant l'engouement dont on nous parlait, j'ai voulu voir. Enfin lire. Oui, et puis, c'est de la littérature pour enfants, donc j'ai moins (beaucoup moins) de réticence quand ça a du succès...

    Et j'ai aimé! En général, la littérature jeunesse, la vrai, la bonne, ne prends pas les lecteurs pour des attardés, et c'est ce qui se passait avec HP. C'était un récit assez simple en lui-même, mais avec suffisamment de rebondissement, et des sentiments assez contradictoires pour être valable. Et comme je me suis tapée les 3 premiers tomes de façon rapprochée, j'ai pu voir effectivement, le style suivait l'évolution du héros.

    Et j'ai enfin terminé cette saga (pas aussi enthousiaste qu'au début hélas). Et je viens même de lire les Contes de Beedle le Barde.

    Et donc, je m'inscrire ici et (chez Cachou et The Bursar, donc) pour une relecture de la saga, que j'ai déjà commencer (Et j'adore la bannière...)

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    bon, va falloir que je mette tout ça au point (et que je réliseles règles), mais comme j'ai déjà relu le tome 1, et que j'avais prévu de faire des billets HP après la lecture du 7...
    Harry Potter à l'Ecole des Sorciers (pour la version Neville, c'est ici)
    Harry Potter est un jeune garçon élevé par son oncle et sa tante, les Dursley, depuis la mort de ses parents. Souffre-douleur de la famille, il ignore tout de ses véritables origines, jusqu'au jour où il reçoit une lettre de Poudlard, l'école de sorcellerie, lui indiquant que:
    1 - il y est inscrit.
    2 - il est un sorcier.
    Il n'est pas au bout de ses surprises, puisqu'il découvre peu après qu'il est aussi une légende vivante... en effet, à l'âge de 1 an, il a permis la défaite du plus grnd mage noir de l'époque, Voldemort... enfin, Vous-Savez-Qui.
    Ce premier tome met en place l'action. Avec Harry, un gamin de 11 ans qui rentre au collège, on découvre le monde des sorciers. Comme ce tome reste un livre très enfantin, forcément, c'est l'émerveillement à chaque page! Poudlard est une école rêvée, pleine de recoins et secrets, à la nourriture fabuleuse, avec des cours merveilleux... du moins au niveau du titre.
    Relire ce tome après les 6 autres montre bien que JK Rowling a adapté son style à l'âge de son héros. Mais la magie opère. Et puis c'est marrant de repérer déjà les indices qui serviront dans les futurs tomes. J'aime le style de Rowling, avec cet humour un peu non-sensique, et ce style particulier des auteurs anglais (je sais pas comment le définir, mais il y a une patte anglaise depuis Dickens, je trouve, dans la littérature jeunesse...).
    J'ai aussi relevé un drôle d'"erreur", je dirais, dans ce tome... Harry ne sais pas ce que sont les préfets et l'organisation de l'école. Or, en anglais, on nous a dit de parler d'HP aux élèves, parce que justement, l'organisation de Poudlard était typique de l'organisation des écoles anglaises (et effectivement, c'est quelque chose que j'ai retrouvé dans d'autres livres qui non rien de fantastique). Comme Harry a été élevé par des Moldus acharnés...
    Autre choses aussi, qui m'a coqué à la relecture (parce que bon, j'en suis déjà au tome 3...). Outre le fait que personne à Serpentard n'est gentil, le manichéisme s'applique aussi aux sorcier/moldu. Les sorcier, y'en a de toutes sorte, ok. Les Moldu, y'a que de gros crétins. Ce qui est amusant au début, avec l'oncle Vernon et la tante Pétunia, qui sont des caricatures de l'anglais moyen, devient lourd, parce qu'en fait, il n'y a aucun moyen de réconcilier moldu et sorcier. Et les sorciers apparaissent un peu comme de gentils protecteurs... mais bon, ça c'est valable sur toute la saga... pour le tome 1, il est bien, voilà!

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  • Sometimes...

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    Parfois, on passe une semaine épuisante... plutôt une fin de semaine...

     

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    Si ma classe de CE2 des lundi et mardi est adorable, en plus ils ont fait rugby mardi après-midi, ils se sont amusés, c'était génial, ma classe des jeudi et vendredi est épuisante. J'ai des CM1/CM2, dont la majorité sont (relativement) calmes et bosseurs, mais totalement "pourris" par deux-trois élèves fouteurs de bordel. Enfin, un en particulier, dont on a examiné le cas en réunion, parce qu'il se fait remarquer partout.Là, personnellement, je sais pas trop quoi faire à part l'attacher et le baîllonner toute la journée. De toute façon, vu qu'il fout rien, ça changerait pas grand-chose. Au moins, il écouterait les cours,et comme il est intelligent, ça lui servira...

    Bref, je suis crevée. Heureusement, je fais le plus beau métier du monde... soi-disant (moi, j'appelle ça un sacerdoce, parce que heureusement que je l'aime, ce boulot... en plus, je suis sous-payée, et pour la considération qu'on a... )

     

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    Mais au-delà de ça, on peut avoir de bonnes nouvelles télévisuelles, par exemple.

    Du genre, on regarde ses petits CSI et CSI: New-york, et on se rends compte qu'il s'agit d'un grand cross-over avec aussi CSI: Miami. Donc, comme on n'aime pas n'avoir qu'1/3 de l'histoire, on récupère cet épisode de Miami. Et là (alléluia!) on remarque qu'Eric "j'ai du mal à mourir" Delko n'est plus au générique de la saison 8! Ni la médecin légiste! Yeah! Bon, il en reste deux encore, mais ça passe mieux, déjà, là.... sans compter que le nouveau médecin légiste a l'air marrant, ainsi qu'un des nouveau sur le terrain. Le problème de Miami, ça reste quand même l'attitude très... euh... "top-model de la plage" d'une partie du cast, dont un des mecs sur le terrain (mais il reste supportable, pour ce que j'en ai vu) et le nouveau rat's lab spécialiste informatique... c'est un peu la rockstar qui fait du labo (à Miami, on risque pas d'avoir des Greg, Archie, Hodges ou Adam,bref)

     

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    Sinon, je suis allée faire un tour dans mes stats, et j'ai regardé celle d'octobre... que du classique auquel on rajoute Claude Izner et Danny Messer (yeah encore)

    mais il y a quand même quelqu'un qui est arrivé avec:

    expressions impie .... euh, tremblez pauvres mortels?

    A part ça, j'ai recommencer la lecture d'Harry Potter, mais je reviendrais faire les choses bien ^^

    http://emo.huhiho.com