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Dreaming - Page 6

  • A long time ago...

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    ... in a far, far away galaxy.

     

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    Et là, un texte défile à l'écran, sur une musique connue. Ultra connue. *La seule chose de bien, très bien, excellent sur les 6 films, d'ailleurs*

     

    J'arrive enfin à parler de Star Wars, après tout ces tags, en prévision du Marathon Star Wars at the Inn, et sur Cit' et même chez Pando!

     

    Ah, Star Wars, toute mon enfance ... j'ai toujours rêvé d'être un Jedi, de parcourir l'espace avec le Faucon Millenium, d'avoir un sabre laser.

    Avoir un sabre laser, surtout ...

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    Après, Georges Lucas a voulu nous expliqué d'où venait Luke et Leïa, et, mine de rien ... je crois pas que ça m'intéressai tant que ça. Vu ce qu'il en a fait... *Non pas que l'épisode 1, 2 et 3 soient nuls, mais euh ... ça confirme que George est un bon créateur, un sacré bussinessman (d'ailleurs, je veux un sabre laser), mais un pas excellent réal-directeur d'acteur...*

     

    Mais euh, Vador qui met son masque ... ouahou!! (oui, je sais, quand je parles Star Wars, je parle souvent le wookie, et alors??)

     

    Allez, come to the Dark Side

    *Je vous avais dit que je rêve depuis longtemps d'un sabre laser?*

     

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  • Comment voyager en Australie pour pas un rond...

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    normal_australiamoviedotnet_poster8.jpg... ou presque.

    Un voyage dans le temps aussi, que ce soit le temps réel ou cinématographique.

    Cela pourrait être aussi comment en avoir plein les yeux pour moins cher qu'un aller-retour Paris-Sydney. Et cela ne prendra que 2h30 de votre temps.

    Australia de Baz Lurhman est une fresque épique, comique, dramatique, qui regarde du côté d'Hollywood des grands studios en ajoutant la touche luhrmanienne: le côté grand barnum.

    Le pitch est simple: Une lady anglaise débarque du côté de Darwin fin des années 30 pour rejoindre son mari sur son élevage de vaches, qui périclite. Elle se fait conduire par The Drover, le cowboy bagarreur du coin, pour trouver son mari mort, et décider de faire le convoyage elle-même. Et forcément, elle va tomber amoureuse du pays, du cowboy, etc... Ajouter à cela l'attaque de Darwin par l'aviation japonaise , et vous avez African Queen qui a croisé Autant en emporte le vent.

    On a une Nicole Kidman parfait en lady anglaise, et un Hugh Jackman toujours aussi... chaud que le désert australien, le tout traité avec tout le sérieux que recquiert cette réinterprétation du mythe par Baz, soit un sacré second degré. Pour exemple, la scène de la douche, qui fait grimper la température de la salle (au moins chez les filles) sans se prendre au sérieux (on dirait une pub l'Oréal dans le bush... mais Hugh le vaut bien!)

    Bref, j'ai aimé le film, parce qu'on passe deux heures de cinéma avec sans doute le même état d'esprit que nos grands-parents devant le Magicien d'Oz ou n'importe quel film en Technicolor. Et ça, c'est un sacré voyage dans le temps, que peu de films savent offrir de nos jours!

    Baz en profite aussi pour battre Peter Jackson à son propre jeu du "je fait une pub géante pour l'Office du Tourisme de chez moi" et nous offre des paysages digne d'Ushuaïa Nature... on se demande des fois si le photographe de plateau n'était pas Yann Artus-Bertrand, vu le nombre de "L'Australie vue du ciel".

    Sinon, le petit garçon métis aborigène est craquant, et j'adore la magie aborigène et leur conception du monde... et que le film dénonce aussi le problème de la génération volée. C'est même la tension dramatique du film. Et la dédicace du film. *Je sais, à première vue, on y pense pas forcément, en voyant cet article... mais y'a quand même beaucoup de chose dans ce film, et moi, je parles de voyages, surtout.*

    Donc, allez voir Australia, si ce n'est déjà fait!!

     *Et je veux bien le modèle Hugh Jackman pour me tenir chaud, cette année...*

  • Voyage immobile

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    Il existe plusieurs formes de voyage. Le plus pratiqué, finalement, c'est celui où l'on ne bouge pas.

    Par manque de moyen, pécunier ou autre. Par manque de temps (mais le temps est-il une donnée si mesurable qu'il faille le compter?)

    C'est aussi un voyage qui prépare aux voyages. Avant de partir, combien de fois n'ai-je pas rêver mes promenades, les lieux où je me rendais. Combien de fois, au travers de livres, guides ou films ne me suis-je pas déjà imprégnée du lieu.

    Et puis, ces voyages immobiles que sont les films, mais surtout les livres, ne permettent-ils pas de voyages impossibles? Je sais que cette note peut paraître remplie de lieu commun. Mais un lieu commun n'est-il pas la chose la mieux partagée au monde, et le voyage n'invite-t-il pas au partage?

    Mes livres, parlons-en. Ils me permettent à moi, férue d'histoire au point d'en faire mon métier, de voyager dans le temps. Alors oui, quand je suis les aventures de Thomas Pitt dans l'Angleterre victorienne ou de Hugh Corbett au 13ème siècle, ce n'est pas seulement l'intrigue policière qui m'intéresse. C'est l'odeur du temps. C'est parcourir les ruelles sordides de Londres, les château au Moyen-âge. C'est courir la France des guerres de religion, découvrir la vie d'alors.

    C'est, bien au-delà, parcourir un monde merveilleurx lorsque je mets mes pas dans ceux de malheureux hobbits.

    Lorsque je vois les gens plongés dans leur livre, le matin, ou même le soir, dans le métro, le RER, je me dit que ceux-ci voyagent bien au-delà de leur arrêt. Le temps de trajet, ils ne sont plus dans leur tracas quotidien, mais ailleurs, dans la vie d'un autre, dans des steppes infinis ou des rêves étranges. Ils voyagent. J'ai toujours vu et ressenti mes voyages réels comme une déconnection de ma vie de tous les jours. Comme lorsque je lis. Comme dans une salle obscure.

  • Souvenirs...

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    Mon dernier voyage hors des murs familiers de la maison paternelle remonte à une semaine ... un court week-end dans une demeure non moins familière. Un voyage étrange dans un lieu fortement attaché à mes souvenirs d'enfance.

    Trois jours dans la maison de mon grand-père, pour accueillir une amie, et remplir cette grande maison pendant son absence. Trois jours d'indépendance mélangée aux règles intemporelles qui pèsent sur cette maison.

    Etrange sensation. Autant la maison de ma grand-mère en Italie me semble un lieu de vacances, autant celle de mes grand-parents en France, me semble... un lieu d'enfance. Parfois, quand le soleil joue sur les vitres de la cuisine, je revois les devoirs sur la table, les leçons à réciter. Je revois cers mercredis ensuite, le rituel déjeuner.

    Ce fut un voyage... dans le temps, dans une drôle de dimension, entre la réalité vécu, et le passé.

    Je revois les fêtes de familles dans le salon. Je revois même l'ambiance d'il ya un an, à l'enterrement. heureux ou malheureux, les évènements, chez moi, pousse au regroupements de tous, et c'est cette joie familiale qui affleure, même au milieu du deuil. Les rires qui ont pontués les remémorations, les anecdoctes ... un vrai film italine, entre le rire et les larmes. Je comprnds pourquoi le néo-réalisme est transalpin...

    Et c'est une fête, une réunion entre amis qui a justifié mon occupation des lieux. Et reprenant le rôle de ma grand-mère, enbonne hôtesse, j'ai assurée en cuisine, offrant mon amitié dans ma cuisine, comme elle nous offrait son amour.

    Il y a décidement des choses qui ne changent pas.