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Asian Time - Page 4

  • Zenkai Girl - 2011

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    Non pas de pizzas, là tout de suite, mais un rattrapage de post en retard... 

    Comme promis précedement, et un peu plus tôt encore, voici mon avis sur Zenkai Girl (le drama qui m'a fait découvrir Nishikido Ryo acteur) (pour ses autres "talents" nous jetterons un voile pudique dessus) (voir même une pierre d'environ 12,5 tonnes, ce serait pas mal non plus). Depuis j'ai découvert son talent d'acteur en bien... mais aussi Papadoru! et ça, il va falloir que j'en aprle... un jour...si j'ai le courage de revoir cette chose en VOSTFR.

    Et puis ça tombe bien, Zenkai Girl était le drama de l'été sur Fuji TV en 2011, toutélié (et j'ai juste 4 mois de retard par rapport à mon propre visionnage, ça va encore ^^)

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    Bref, Zenkai Girl, de quoi ça cause?

     

    Ayukawa Wakaba est une jeune diplômée du barreau qui vient d'être engagée dans l'un des plus grands cabinets d'avocat, Smith&Clerk.Mais, lors de son discours de bienvenue, la nouvelle tombe, à cause de la crise, la société est en faillite.Wakaba, qui eut une enfance difficile, ne perd pas espoir et contacte tous les cabinets d'avocats qu'elle connait pour ne pas se retrouver au chômage. Alors qu'elle réussit à obtenir un entretien inattendu, elle rencontre dans le métro, un jeune père de famille, Sota Yamada, qu'elle prend pour un pervers.Yamada tombera très vite sous le charme de Wakaba. Quant à cette dernière, qui ne rêve que de pouvoir et de richesse, lui préfère Kyoichi Shindo, un bel avocat doué et à l'avenir prometteur.Wakaba doit alors jongler entre son travail d'avocat et le baby-sitting de la fille de sa patronne. Toujours en période d'essai, elle devra se montrer courageuse et faire face à tous les problèmes, même de cœur.

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    Y'a qui dedans? (à part Ryo)
     
    Aragaki Yui : Ayukawa Wakaba
    Nishikido Ryo : Yamada Sota
    Yakushimaru Hiroko : Sakurakawa Noriko
    Tani Kanon : Sakurakawa Hinata
    Misako Renbutsu : Shioda Soyoko
    Hirayama Hiroyuki : Shindo Kyoichi
    Takagi Serai : Yamada Emitaro (dit Pitaro)
     
    Et donc, j'ai vraiment beaucoup aimé ce drama, qui était à la fois léger, rafraichissant (c'est une comédie romantiqueuh, hein...) mais aussi profond et qui savait aborder des thèmes intéressants. Et cela même en enlevant complétement le swoon lié à Nishikido Ryo (faut que ce jeune homme arête de sourire parce que sinon mes neurones... ouais, mais en fait il a une tête de psycho sans ça, donc...). Bref ce drama était génial. J'avais eu un démarrage bon, mais diffcile avec le perso féminin, j'ai bien fait d'attendre d'être dans le bon timing pour voir en fait ^^
     
    Je ne sais pas ce que j'ai mais j'ai une légère tendance personnellement à regarder depuis quelques temps des dramas qui parlent de nourriture, de relations familiales voir des deux. Le plus souvent japonais (parce qu'ils sont plus courts, donc plus concis, donc ils vont à l'essentiel) (enfin, c'est mon ressenti ^^). Bon Zenkai Girl ne parle pas réellement de nourriture, si ce n'est à travers le métier de Sota (Ryo) qui est cuisinier. Métier qui a son importance, mais plus dans sa représentation sociale comme on le verra.
    Par contre, le drama aborde à fond les thèmes des liens familiaux, des liens du sang, de l'enfacne, et de ce qu'il faut pour accomplir sa vie. Et de façon assez pertinente. (Depuis j'ai aussi vu le drama Hayami-san to Yobareru ni, et je trouve que c'est proche aussi ^^) (les Japonais s'interrogent beaucoup sur la famille, en fait ^^)
     
    Bon je vais essayer d'être concise (d'autant que je reprends énormément mon avis publier sur Lambton) Sauf que là, attention, je spolie sans balises ^^

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    Les personnages d'abord:
    Wakaba... à première vue, j'ai dis "Quelle tête à claque", et en fait, je l'adore ^^. Parce qu'elle est à la fois tellement franche, adulte et en même temps... gamine. J'aime son personnage qui est une vrai battante, qui en fait sous son dehors "je veux être riche" a des rêves de midinette... Nan mais sérieux, les films qu'elle se fait (c'est une accro à la romance mit milliardaire, je crois...:lol!:) Et ses interractions avec Hinata... elle se fait litttérelement manipuler par elle, en se comportant plus en gamine qu'en adulte, finalement... donc oui, elle est terriblement humaine. Et le coup des poussins, j'ai adoré. Quand elle leur fait cours aux gamins sur poussins=nourriture... mais lol... c'est trop réaliste (et j'aime aussi quand elle leur apprends à s'en occuper ^^)
    Sota... ah, Sota... si tous les pères pouvaient être comme lui à l'école. Même en dehors du physique, hein. Il est trop chou. Même si on a envie de le secouer des fois, comme Wakaba, parce qu'il est limite trop gentil. 
    Et puis son interraction avec Wakaba marche du tonerre de Dieu... enfin, je veux dire l'attrait qu'il a pour elle, et la façon dont elle aussi ressent quelque chose tout en luttant contre, c'est trop bien rendu. J'insiste un peun dessus, parce que j'ai re-regarder des passages dernièrement, à cause de Papadoru!, et c'est flagrant... dans l'un, les persos sont sensé être amriés et amoureux, et on ressent autant d'interraction entre eux qu'entre deux cousins éloignés forcés à cohabiter ensemble... alors qu'ici, on a juste envie d'hurler à Wakaba "Mais p*taiiiiin, lâche l'avocat et ouvre les yeux cruchasse!!! T'es amoureuse de lui!! Le petit, là..." (ce qui explique sans doute qu'on soit grave dans la team des gamins, en fait XD)
    Les gamins étaient juste parfait... Pitaro, bien sûr, mais surtout Hinata. C'est franchement difficle je trouve son rôle, parce qu'il fallait la rendre sympathique malgré son côté un peu peste. Et c'est très réussi.... justement, parce qu'on se rend compte que chez elle aussi, le côté "Mademoiselle Je sais tout", c'est beaucoup avec Wakaba (et ça marche) et c'est surtout une façade en rapport avec sa mère. Alors qu'a fond c'est une gamine comme tous les gamins de la terre. Je dois avouer qu'elle m'a beaucoup émue, sans doute parce que je croise aussi bien les cas comme Pitaro que comme elle...
    la scène ou elle pleure dans les bras de Sota, pour le spectacle de fin d'année... et sa réaction avec son rôle de la sorcière... je dois avouer que ouais, j'ai pleuré ...)
     
    Là c'est pour les principaux, mais le reste du cast est du même niveau, que ce soit Shindo, Mme Sakurakawa (gniii, Mirei Sensei, j'étais contente de la voir dans un rôle de femme à poigne ^^), la troupe des papas-garderie, le directeur d'école.... voilà, voilà...
     
    Mon avis par thème abordé... 
    On va dire que le principal, c'est quand même la relation parents-enfants.... le rapport lien du sang/lien du coeur... qu'est-ce qui fait de nous des parents? Je dois avouer que c'est un thème qui me touche beaucoup (pas que personnellement j'ai des doutes sur mes liens du sang, en plus, ils sont aussi bien doublé par les liens du coeur dans ma famille) mais rapport à mon travail, à ce que je vois chez mes élèves... à ce que je vois chez des amis (j'ai quelques adoptants dans mon entourage...). 
    L'autre grand thème qui m'a touché aussi dans ce drama, c'est la question de la mobilité sociale, dans le travail et par le mariage.
    C'est compliqué mais le fait de changer de niveau social (de classe sociale, allez, n'ayons pas peur des mots ^^) se fait en général par 2 biais: les études puis par extension le milieu professionnel. Le mariage, donc le milieu privé, et ici c'est souvent plus une mobilité principalement économique aussi. Mais souvent c'est mélangé.
    Mais les études sociologiques nous montre qu'on se marie souvent dans sa propre sphère sociologique, et ça, c'est quand même bien abordé dans le drama. 

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    Wakaba rêve de sortir de son milieu, de façon assez logique (ça s'appelle la mobilité sociale intergénérationnelle... dans l'idéeal elle est ascendante, et les enfants doivent surpasser leurs parents) et c'est assez fun dela voir faire énormément d'effort pour acquérir un vernis culturel qui s'adapte à ses exigences matrimoniales, ici Shindo, brillant avocat issue d'une famille d'avocat. C'est assez sensible quand elle révise pour chaque chose qu'il lui propose... le concert classique, la fête de fiançailles, etc... Mais c'est un monde qu'elle imagine et idéalise, gravement... au point de perdre finalement son vrai rêve de vue... Parce qu'elle confond justement l'ascension professionnelle (représentée par sa patronne d'ailleurs) et l'ascension sociale tout court. 
    De l'autre côté, il y a Sota, issue du même milieu qu'elle. Elle le "déteste", parce qu'effectivement il représente ce qu'elle veut quitter. Mais elle ne peut pas s'empêcher d'intervenir dans sa vie, parce que justement, ses problèmes à lui, ses dilemnes, ses rêves (même mis entre parenthèses) ce sont des choses qu'elle connait, qu'elle comprend. En enlevant les lunettes roses quelle porte "Je vais épouser un milliardaire", elle a les même... faire un métier qui lui plait au service des gens.
    Ce qui est aussi significatif, c'est de voir les changements d'attitudes qu'elle a quand elle se rend compte que Sota, au lieu du simple grouillot d'un minable p'tit restau, est en fait capable d'être chef étoilé, on va dire... et qu'il travaille dans la grande cuisine française. J'ai aimé cette scène, parce qu'elle illustre bien comment le paraitre, à ce moment là, est plus important pour elle que l'être (parce que techniquement, avec ou sans toque, c'est le même bonhomme, hein, ma grande... ^^)
    Et donc à la fin... eh bien la règle sociologique est respectée, non? C'est Sota qui gagne... mais c'est normal.( nan, je ne suis pas réactionnaire... mais je ne crois pas que changer de classe sociale par mariage soit une révolution qui changera le monde. C'est même la morale de base qu'on essaye de faire avaler aux filles avec les contes de fée, le coup de la bergère qui épouse le prince... Accepter par contre de ne pas se voiler la face, de ne pas faire partie d'un cabinet prestigieux mais agir en suivant ses rêves, et se battre pour ça, par contre, oui... et j'aime la fin de Zenkai Girl^^)
     
    En parlant de la fin donc... l'épisode11... il est trop beau. Ok, la partiedu mariage qui se fait en fait pas, mais avec la déclaration, et pouf, tout le monde autour et la musique... elle est un peu kitch. Mais elle est quand même jolie.
    Et puis j'ai apprécié qu'à la fin, ils ne soient pas marié, qu'ils accomplissent tous les deux leurs rêves et qu'ils se retrouvent comme ça...mais j'avais espérer un bisou en plus. Même si celui de la demande en mariage n'était pas vraiment à classer dans la catégorie UHU (il s'est fait plaisir le Ryo, là, non???)

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    Bon, sinon, c'est un drama, alors forcément, il ya plein d'occasions manqués, de mauvais timing, etc... mais c'est trop bien!!!
     
    Voilà.
    La prochaine fois, promis, je vous parle de pizza XD

     

  • Les dramas c'est la vie...

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    Allez, le mois de mai, ses jolies pont, et on y crois, je reviens sur la blogosphère.
    Pendant mon "absence", j'ai beaucoup (trop) regardé la "télé". Surtout asiatique... surtout japonaise ^^
    Et j'ai rattrapé une partie de mon retard par exemple en drama de Kudo Kankuro.
    Mais c'est qui, je vous vois vous interroger...  Kudo Kankuro, wiki et nautiljon répondent mieux que moi ^^. mais pour faire bref, c'est un réalisateur-scénariste japonais de drama, en général bien barrés et très intelligents pourtant.... et je les ai tous aimé. A des degrés divers, mais sachez que 3 de ses dramas sont actuellement dans mon top 10. Au moins ^^
    On va les faire dans l'ordre de visionnage, grosso-modo (parce que oui, j'en ai vu 4 en 2011... les deux derniers il n'y a pas longtemps ^^)
     
    Ikebukuro West Gate Park (2000):
    Makoto, un jeune "délinquant" de 20 ans, passe son temps à faire des conneries avec ses potes dans les rues d'Ikebukuro (quartier branché de Tokyo), à jouer au bowling et à aider sa mère dans son magasin de fruits. Un évènement va venir troubler sa vie, et considérant que la police ne fait pas son boulot, il va enquêter à sa manière avec l'aide des ses amis, dont un chef de gang... 
    On lui confiera par la suite d'autres affaires qu'on ne peut pas vraiment confier à la police...
     
    Mon premier vu. Adapté d'un roman (excellent aussi), ma première rencontre avec Tomoya Nagase acteur. Une série pas spécialement toujours fun, mais très belle, sur la jeunesse, un quartier de Tokyo... pas de fleur, pas de romantisme,ici on est dans le béton, la vraie vie, la classe moyenne. Ce qui n'empêche pas la poésie, l'amitié, et même de rire.
     
    Kisarazu Cat's Eyes(2002): 
    Mon drama favori, que j'avais pris la peine de développer, donc il suffit d'aller voir .
     
    Tiger&Dragon (2005):
    L'histoire de Tiger & Dragon est tournée autour du Rakugo (entraînement verbal qui consiste à raconter des légendes japonaises comiques derrière lesquelles se cachent souvent une morale). 
    Kotora (Nagase Tomoya) est un yakuza qui est chargé de récolter la dette (assez importante) d'un maître de Rakugo. 
    Un jour, il assiste à une des réprésentation et sourit, ce qui est une première pour lui qui n'a jamais sourit depuis un évènement de son enfance. Il demande alors à ce maître de le prendre sous son aile afin de lui apprendre le Rakugo (en échange de la dette), il va entrer dans cette famille unie autour de cet art et rencontrer Ryuji (Okada Junichi) le fils aîné du maître qui s'est détourné du Rakugo alors qu'il était le meilleur. 
    Kotora va apprendre auprès de Ryuji et tous deux vont devenir amis et vont vite être confrondés à des problèmes qui touchent leur entourage et vont tenter de les résoudre.
     
    Si vous avez envie de voir Tomoya Nagase et Okada Junichi ensembles, allez-y. Si vous ne savez pas ce qu'est le rakugo (le stand-up assis japonais, copyright Galy ^^) foncez. Un drama découverte des traditions japonaises, mais aussi une très belle analyse sur la famille, la transmission, les valeurs, les traditions, la modernité... tout en riant aux éclats, en vous rendant compte que certaines histoires comiques sont universelles (celle du bol et des chats, je l'ai testé en Italie, c'est dire ^^).
    Et puis Tomoya est méga-canon dedans... ça ne gâche rien.
     
    Unubore Deka (2010)
    On suit les aventures d'un détective de 30 ans surnommé Unubore par ses amis à cause de sa tendance à croire qu'il est populaire auprès des femmes. En plus de sa vanité, il est aussi extrêmement sensible et romantique, mais son envie de se marier l'amène à un tel point qu'il a déjà acheté un appartement pour sa futur vie de jeune marié!
    Malheureusement pour lui, il a l'habitude de tomber amoureux des criminelles suspectées dans diverses histoires. Ainsi lorsqu'il trouve des preuves de leurs crimes, il glisse une demande en mariage avec le mandat d'arrêt, donnant le choix aux criminelles entre le mandat d'arrêt et le mariage avec lui. Si cela ne suffit pas il laisse aux criminelles le choix entre une bague de fiançailles ou des menottes!
    Mais cela ne se passe jamais comme il aimerait que cela se déroule!
     
    Avec Tomoya Nagase (encore!) et Ikuta Toma, et tout plein de gens qu'on croise de toute façon souvent dans les dramas de Kankuro (c'est le Christopher Nolan japonais, lui...). J'avoue, je me suis lancée en pleine période Kankuro l'an dernier, parce que jusqu'à présent, c'était des dramas drôles avec un vrai fond...
    Et là, la première fois, j'ai un peu fait "gnéééé?". C'est toujours très drôle, mais le fond je cherche encore... Ceci dit, ce drama supporte un revisionnage sans problème, parce que voir Tomoya et Toma faire les clowns, ça n'a pas de prix. Et l'énorme talent tomoyesque pour les grimaces (et les déhanchés... "subtils" XD) n'a pas de prix non plus.
     
    Ryuusei no Kizuna (2008)
    Inspiré d'un célèbre roman de Higashino Keigo, déjà auteur de Galileo et Byakuyakou, Ryusei no Kizuna raconte l'histoire de trois orphelins, dont les parents ont été assassinés il y a longtemps. Placés dans un centre d'accueil, ils font le vœu sous une étoile filante de venger leurs parents.
    Après plusieurs années, alors que la police n'a toujours aucune piste et que l'affaire est sur le point d'être classée, les Ariake finissent par retrouver le meurtrier. Mais il se trouve qu'ils connaissaient déjà son fils, notamment Shizuna.
     
    On arrive dans ceux vu cette année. J'ai eu une subite crise Nishikido Ryo dernièrement et après avoir vu Zenkai Girl (dont je vous parlerais^^) je suis tombée sur la fiche de ce drama. Avec Ninomiya Kazunari. A première vue, sincérement, le synopsis me tentait pas. Sauf que j'ai vu le nom du scénariste, et ça m'a rassuré. Et je n'ai pas été déçue.
    Sauf que je suis passée d'une crise Ryo à une crise Nino... mais ça c'est une autre histoire (sans rire je n'avais jamais vu jouer Nino, ben je comprends pourquoi Clint l'avais choisi, maintenant).
    Bref, il faut allez au delà du synopsis, car la fratrie, au premier abord, fait plus dans l'arnaque que dans la recherche de l'assassin. Même si on y vient assez vite, mais ce n'est jamais très lourd. C'est bien amené,et même les fréquent flash-backs servent bien l'histoire. Et puis il y a des persos loufoques. Et il y a Kaname Jun, que j'ai vraiment découvert dans ce drama, puisque son perso est trop bien... il est même parfait.
    Au niveau des héros, je dois dire que Nino qui joue l'ainé et Toda Erika qui jouent la soeur, prennent beaucoup plus de place que Ryo, dont le perso est un poil plus en retrait... Et ici aussi, une belle interrogation sur la famille, les liens familiaux, les liens du sang...
    Et surtout, le twist final est juste énorme. Je suis tombée de ma chaise à la révélation, quoi!
     
    Manhattan Love Café (2003)
    Akabane Nobuku, est chauffeuse de taxi. Chaque jour, elle a droit à un certain nombre de réflexions du fait de son sexe mais elle tente tant bien que mal de passer outre pour assurer pleinement sa profession. Ce soir, un client a oublié son téléphone portable. Afin de le récupérer, Akabane lui donne rendez-vous au café Manhattan. 
    Manhattan, c'est un café trés cosy, situé dans la banlieue tôkyôite. Il est tenu par Tencho, un homme parlant peu, aux innombrables secrets. Le café est situé à coté du siège général d'une grande chaîne de télé. Les allers et venus des salariés lui donnent la jaunisse et il pense d'ailleurs ne pas aimer regarder la télévision à cause de ces personnes-ci. Il voit tout, remarque tout : de la plus insignifiante conversation à la rupture à chaudes larmes. Lui, aime simplement le café... et Colombo. 
    Akabane patiente sagement en attendant son client...
    (en cours de visionnage)
     
    Avec Matsuoka Masahiro, dit Mabo, qui n'est autre que le batteur de TOKIO, le groupe de Tomoya. Qui a le rôle de ce patron de café silencieux et un poil asocial. Un rôle un peu énorme, parce que tout passe (ou presque) par ses mimiques et ses pensées intérieures, vu qu'il ne parle pas.
    Et je pense maintenant que Kankuro aime filé des rôles barrés aux membres de Tokio. Parce qu'ici on est proche du loufoque d'Unubore Deka... même si de ce que je vois, il y a d'intéressantes réflexions sur la télé, l'amour, les relations humaines et de couple... mais c'est bien déjanté.
    Donc j'aime. Le drama qui met de bonne humeur.

  • Bilan 2011

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    Oui, je sais, on est déjà en février 2012...

    Eh bien me revoici sur la blogosphère, public adoré. Et autant commencer avec le bilan de l'année passée... parce qu'il est là, tout prêt.

    Et que je ne me suis pas enfin astreinte à tenir mon carnet culturel à jour pour rien! (Pour 2012, j'ai ajouté un challenge... celui de tenir le même, mais version comptabilité domestique... allez, on y croit!)

    tumblr_l8ykp6ayvL1qzb5wzo1_400.jpgLivres lus: 42 (c'est un siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiigne!!!)
    dont: 
    relus..6, 
    non terminés...4
     
    Coups de coeur de l'année
    Nerd do Well de Simon Pegg
    L'intégrale du Chat du Rabin de Joan Sfar
    American Vampire
    Le Trone de Fer (tome 1 et 2 pour l'instant)
    La Compagnie Noire de Glen Cook
     
    film.jpgFilms vus: 43 (mince presque... ^^)
    dont:
    cinéma... 9
    autres... 34
    (ouais, je suis pas une habituée des salles obscure... mais si j'en crois Première, je suis au-delà de la moyenne française qui est à 3,4 par an ^^)
     
    Coups de coeur de l'année:
    The Seaside Motel
    Tampopo
    Red Cliff
    Richard III
     
    images.jpgSéries télé vues, découvertes, continuées: 34
    dont:
    Asie... 11 (avec 10 japonaises dans le lot...)
    Commencé mais pas encore finie...4
    Nouveauté...8
     
    Coups de coeur de l'année:
    Game of Thrones 
    Boardwalk Empire
    Kisarazu Cat's Eyes
    Utahime
    Sirens
    Tiger&Dragon
    Shinya Shokudo
    Young Indy
     
    Option "je me culture en assistant à du spectacle en live!!"
    salle-concert-paris.jpgConcerts vus:6
    dont X-Japan 
    (sans compter la découverte de pêtites salles parisiennes grâce à Toxic... ^^)
     
     
     
     
    theatre-marigny.jpgThéâtre: 3 pièces
    - les 39 marches
    - le Songe d'une nuit d'été
    - Sunderland
  • Kisarazu Cat's Eyes

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    8042poster_image_655_1_5.jpgKizarasu Cat's Eyes

    Genre : drama japonais tranche de vie bande de potes... et un peu drame aussi.

    Le pitch (merci Nautiljon): Un jeune joueur de Baseball de 21 ans, Kohei (Bussan), apprend qu'il meurt d'un cancer et qu'il n'a que 6 mois à vivre. 
    Il décide alors de faire quelques chose de risqué.
    Il propose à ses 4 meilleurs amis de former une équipe de voleurs qui ne voleront que ceux qui commettent des crimes.
    Ses amis sont réticents mais ne peuvent refuser la requête de leur ami mourant.
    Bon, ça c'est le prétexte hein, parce que sinon, c'est aussi un peu beaucoup des tranches de vie à Kisarazu, petite ville de la préfecture de Chiba, pas loin de Tokyo...


    Les gens :
    - Bussan (Kohei de son vrai prénom) (Junichi Okada) : le héros, n'a pas vraiment de rêve (sa vie lui suffit), leader du groupe et qu'on a grave envie de prendre dans les bras ^^
    - Ani (son vrai prénom? à trouver ^^) (Takashi Tsukamoto) : le seul blond japonais ultra-décoloré à qui ça va vraiment. Sinon, c'est le grand frère de la star actuelle de l'équipe du lycée, et ça le gonfle un peu...
    - Master (Ryuta Sata) : irresponsable et pourtant tenant du bar où se réuni la petite troupe(marié, 1 enfant presque 2)
    - Bambi : encore puceau et susceptible sur le sujet... mais c'est celui qu'on oublie toujours d'Arashi qui joue son rôle (d'ailleurs, le générique aussi est d'Arashi ^^) et il est choupinou comme tout ^^ Pis comme sa famille à le magasin de kimono, on le voit souvent en tenue traditionnelle ^^
    - Ucchie : drôlissime, ne parle jamais, ou presque. Et a assez souvent un rôle très important

    - Mouko: la fille "facile" du coin... ou pas. Un peu beaucoup cruche, elle est amoureuse de Bussan... et aussi de Bambi, et... bref,regardez la série, c'est mignon ^^ (et je l'aime bien Mouko ^^)
    - Mirei Sensei: l'ancienne prof et responsable du club de base-ball (je suppose) du lycée de nos amis... très proche d'eux, elle a un peu de mal, de nos jours...
    - Nekota: l'entraineur de l'équipe, allié assez souvent avec le yakusa du coin (qui a aussi le club d'imitation...) (les yakusas peuvent être bizarres dans cette série...)
    - le père de Bussan, totalement à l'ouest... coiffeur de la ville, mais en fait Bussan est plus doué que lui... mais je l'aime bien ^^
    - Ojii... le clodo du coin. Grâce à lui, je sais dire "c'est le matiiiiiiin". Enfin, je savais le dire... (oh ben zut, faut que je revisionne la série ^^)

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    Alors sinon, dans les grandes lignes j'en ai pensé quoi, de Kisarazu Cat's Eyes?

    Ben.... j'ai A-DO-RE!!! Cette bande de bras cassés, cette histoire d'amitié, avec le drame qui sourde mais qui n'occupe jamais le devant de la scène, les personnages secondaires, la vie dan,s une petite ville de banlieue... ah ça, c'est plus calme que Tokyo!!!
    Je saurais même pas par quoi commencer... comme je l'ai souvent répété, tout le cast est excellent, mais Okada est juste parfait... il arrive à rendre les angoisses de son personnage, mais aussi son immense humanité (parce que mine de rien, Bussan fait énormément pour ses amis, pour après ^^).
    Les scenarii partent parfois très loin dans le délire, sans pour autant paraitre totalement surréalistes dans leur aventures.
    C'est vraiment, vraiment un drama comme je les aime, on pleure, on rit, on s'émeut, on chante (Kisarazuuuuuuuuuuu!! Nyah nyah nh=yah nyah nyah nyaaaaaaaaaaah)

    Bref, un drama que je conseille fortement à tous!